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Premier volet d'une trilogie consacrée à Pierre Mor, dominicain d'origine bâloise qui contrôlait au XVe siècle l'observance des règles monastique dans les couvents de la province de Teutonie. Retrace son enfance et ses années d'études du droit canon à Paris.

Troisième et dernier volet consacré à Pierre Mor, dominicain d'origine bâloise qui contrôle au XVe siècle l'observance des règles monastiques dans les couvents de la province de Teutonie. De 1461 à 1466, il passe les dernières années de sa vie à Guebwiller et se trouve au coeur des querelles religieuses et politiques de l'Eglise, du royaume de France et du Saint Empire romain germanique.

Second volet d'une trilogie consacrée à Pierre Mor, dominicain d'origine bâloise qui contrôle au XVe siècle l'observance des règles monastiques dans les couvents de la province de Teutonie. La période 1445-1461 est couverte. P. Mor suit le roi des Francs, Charles VII. A Paris, Thierry et ses compagnons écoliers s'efforcent de trouver qui a tué Etienne. Pierre intègre l'ordre des Dominicains.

1490, le temps a passé et le procès est terminé car Christine Fritz a avoué son hérésie sous la pression. Sa famille connaît aussi son lot de souffrances : le départ de Thibault pour Saint-Jacques-de-Compostelle, Emeline qui trouve refuge auprès de chevaliers teutoniques, l'avenir incertain de Pétronille et de son fiancé Marquart.

1489. Guebwiller, une ville d'Alsace, vit sous le contrôle de l'Empire romain germanique. Le prieur et inquisiteur Jacques Sprenger vient de Cologne intenter un procès à Christine Fritz, une des six filles de l'aubergiste, l'accusant de sorcellerie. Prêt à tout pour la confondre, il missionne le conventuel Ulrich Bichwiller. En parallèle, la ville subit des fléaux : peste, aléas climatiques.

L'instruction du procès menée par le dominicain Ulrich Bichwiller se poursuit, ce dernier n'hésitant pas à recourir à la violence pour faire avouer à Christine Fritz des pratiques occultes. Quant à sa famille, elle est mise à l'index par les villageois qui, accablés par de terribles fléaux, puisent des raisons de vivre dans la volonté de châtier des coupables symboliques.